Le mouvement de la modération de Turing


Mathématicien de langue anglaise, briseur de codes informatiques et fondateur de l’informatique personnelle, Turing a légué la chance de l’intellect artificiel à la science, ainsi qu’un critère d’intelligence pour la vision de l’imagination. Sa définition d’un appareil informatique largement répandu, nommé «la machine de Turing» en son honneur, établit des générations d’experts anxieux pour travailler à l’intérieur de la mission pour construire des ensembles de règles qui pourraient expliquer les processus de calcul de la pensée individuelle. Son «jeu d’imitation», parfois simplement appelé «le test de Turing», a mis à rude épreuve la compréhension des philosophes des idées, y compris «l’intelligence», la «conscience» et «l’esprit». Tout au long du 2ème conflit planétaire, Turing a été le meilleur cryptographe de Bletchley Park, où il a fait une grande participation au résultat des Alliés en aidant à casser le code populaire «Enigma» utilisé par les Allemands. Les emplois fondateurs de Turing se trouvent dans ses fameux morceaux de papier Computer Devices and Intelligence par lesquels il crée la requête «Les équipements peuvent-ils penser?». La réponse à ce type de préoccupation dépendra naturellement, en particulier, de ce que signifient les termes «machine» et «penser». Mais comme toute analyse des termes va probablement présupposer une réponse à la question au lieu de nous aider à l’examiner objectivement, Turing propose de remplacer le souci d’avoir un jeu vidéo hypothétique. Supposons, déclare Turing, que nous définissons un jeu à trois participants. Le joueur A doit toujours agir en tant qu’interrogateur, avec le but de votre activité à l’interrogateur serait d’imaginer les rapports sexuels des deux autres athlètes, dont l’un est un homme, l’autre une fille. Chacun des athlètes est dans des zones séparées et livre et reçoit des questions et des réponses via des terminaux de télé-variété. Pour la personne B, le sujet de l’activité serait de confondre l’interrogateur et de cacher l’identité personnelle de son sexe. Pour le joueur C, l’élément du jeu vidéo est d’aider l’interrogateur à spéculer correctement sur son sexe. De toute évidence, étant donné que l’interrogateur ne saura pas quel participant tente de l’aider et qui tente de le tromper, il doit être très rusé dans sa réflexion.