Pourquoi reprendre la pensée de Voltaire


Cent ans après chaque jour de travail, un homme mourut. Il est mort immortel. Il est parti emballé avec beaucoup d’années, emballé avec opère, chargé en utilisant le plus illustre mais aussi le plus craintif des engagements, l’obligation de la conscience de l’homme bien informé et rectifié. Il est allé maudit et chanceux, maudit du précédent, privilégié par le long terme; et ceux-ci représentent les deux genres de gloire exceptionnels. Autour du matelas de couchage, il a connu, d’une part, les éloges des contemporains et de la postérité; autour de l’autre, ce triomphe de sifflements et de haine que le passé implacable accorde aux personnes qui l’ont combattue. Il était sur un gars; il était un grandi. Il s’est exercé une fonction et a rempli une mission. Il a fini par être clairement choisi pour ce travail qu’il a accompli avec le testament suprême, qui se manifeste lui-même de manière perceptible dans les lois et les réglementations du futur, à l’instar des directives juridiques de Mère Nature. Les quatre-vingt-quatre années de résidence de cette personne s’étendent sur la période comprise entre l’apogée de la monarchie et celle de la révolution. Lors de sa création, Louis XIV régna néanmoins; à sa mort, Louis XVI portait déjà la couronne; de sorte que son berceau a remarqué les derniers rayons de votre fantastique trône, avec son fantastique cercueil les premières lueurs de l’excellent abîme. Avant d’aller plus loin, permettons de connaître la phrase abysse. Vous trouverez de grands abysses: ce sont certainement les abîmes dans lesquels satanic est englouti. Depuis que je me suis dérangé, laissez-moi pleinement mon réfléchi. Aucun mot imprudent ou malsain ne sera probablement distinct dans cet article. Nous sommes sur cette page pour effectuer une action de civilisation. Nous sommes sur cette page pour aider à affirmer le progrès, à donner de la valeur aux philosophes pour les avantages de l’approche, à donner vers le XVIIIe siècle le témoignage de votre XIXe, à honorer les combattants magnanimes et les grands serviteurs, à féliciter le respectable effort des gens, du secteur, de la recherche scientifique, de la vaillante marche en avance, du travail pour cimenter la concorde humaine; en un seul terme, glorifier la quiétude, ce désir commun. La paix sera la vertu de la civilisation; le conflit est son infraction. Nous sommes en train, ici même, en cette seconde si grande, en cette heure solennelle, de nous prosterner religieusement avant le règlement moral, et de dire aussi dans le monde entier, qui entend la France, ceci: Il n’y a qu’une force, une conscience au sein du service des droits propres; et puis il n’y a qu’une seule gloire, le génie parmi les services de la vérité. Malgré cela, je procède. Avant l’innovation, le cadre social était le suivant. Dans la fondation, des individus; Plus élevée que les individus, la religion symbolisée par le clergé; Du côté de la foi, la justice affichée de la magistrature. Et, à l’époque de la société moderne individuelle, qu’était-ce que les individus? C’était de l’ignorance. Quelles étaient les croyances religieuses? C’était l’intolérance. Et quels étaient les droits appropriés? C’était une injustice. Est-ce que je vais trop loin pendant mes phrases? Évaluer.


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